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 Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire....

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Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... Empty
MessageSujet: Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire....   Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... EmptyDim 3 Avr - 7:42

Je ne lis pas que ce genre de livre, mais mon choix va à nouveau vers le policier Rolling Eyes

Voici trois livres que j'ai retenus :

Un de mes auteurs préféré :

Faute de preuves d'Harlan Coben Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... Faute-10

L'histoire :
Aux États-Unis, de nos jours. Bonne élève, sportive, les pieds sur terre, Haley McWaid, 17 ans, est la fille dont rêvent tous parents. D'où la surprise de sa mère quand elle découvre que sa fille aurait découché. Et son affolement quand elle ne parvient pas à la joindre. Et son désespoir quand, après trois mois, on est toujours sans nouvelles de la jeune fille.
Wendy Tines a sa petite idée. Mère célibataire d'un ado, cette journaliste ambitieuse travaille de concert avec la police pour un programme télé chargé de débusquer les délinquants sexuels. Sa dernière prise, Dan Mercer, un éducateur pour enfants.
Tandis que toute la ville est sur les dents, à la recherche d'un prédateur sexuel, Wendy va découvrir que l'affaire Mercer va l'entraîner beaucoup plus loin que tout ce qu'elle aurait pu imaginer...
Critiques :
Faute de preuves’ est-il le chef d'œuvre d’Harlan Coben ? Jamais l'auteur américain, pourtant réputé pour la qualité de ses mécaniques policières, n'avait bâti de trame aussi imprévisible. Celle de son vingtième roman débute, mine de rien, sur un mode typiquement « cobenien », en associant deux histoires. Non pas celle de Myron Bolitar, son héros récurrent qu’il laisse désormais en plan un roman sur deux, mais celle de Wendy, journaliste de télé réalité, chargée de piéger des pédophiles en direct. Elle use d’ailleurs de toute son influence pour faire arrêter Dan Mercer, suspect relaxé, faute de preuves...Source : Evènement

Comme tous les romans d’Harlan Coben, Faute de preuves est chargé en suspense et en rebondissements. On pourrait reprocher à Coben des intrigues qui frisent un peu l’invraisemblable, mais on lui pardonne aisément car on n’est jamais déçu du voyage. La complexité de l’histoire garantit que l’on ne puisse jamais deviner où Coben nous mène, même si parfois, si l’on est habitué à son style, on peut deviner quelques-uns des retournements de situation…
Du très bon suspense, par une valeur sûre du thriller américain.Parlons bouquins.
Si vous n'avez encore jamais lu Harlan Coben, vous pouvez avantageusement débuter par Faute de preuves, il vous donnera, à coup sûr, envie de prolonger l'aventure.Passion livres

Et deux inconnus.... mais que j'ai envie de découvrir :

L'oeil du tsar rouge de Sam Eastland Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... L_oeil10

L'histoire : 1929, Sibérie. Le jeune commissaire Kirov vient chercher un homme pour le sortir du goulag. L’ordre en a été donné par le camarade Staline en personne : le prisonnier 4745-P doit être immédiatement « réactivé ». Alors qu’il extirpe de l’enfer un homme à moitié mort, Kirov ne se doute pas qu’il vient de rendre à la vie une légende : l’inspecteur Pekkala, que toute la Russie connaissait sous le surnom de « l’Oeil d’émeraude », était le plus grand policier du tsar Nicolas II. Un homme au-dessus de tous les pouvoirs, ne répondant qu’au tsar et dont sa loyauté à la Couronne a entraîné la perte. Si Staline rappelle son pire ennemi à son côté, c’est qu’il a besoin de ses talents exceptionnels pour résoudre une énigme dont la réponse pourrait constituer une véritable bombe politique : que sont devenues les dépouilles des Romanov ? L’un des enfants du tsar n’aurait-il pas échappé à la colère rouge ? Dans ce thriller historique, Sam Eastland, relève le double défi de faire renaître un pan d’histoire passionnant et de faire surgir des forêts de Sibérie un héros brillant, torturé, cynique et terriblement attachant.

Critiques :
Dans ce thriller historique, Sam Eastland, relève le double défi de faire renaître un pan d'histoire passionnant et de faire surgir des forêts de Sibérie un héros brillant, torturé, cynique et terriblement attachant. Chapitre

Le lecteur est tenu en haleine grâce à une alternance de chapitres évoquant le passé de Pekkala et d'autres décrivant l'enquête. Cette mission est menée par Pekkala et Kirov, mais également par Anton, le propre frère de «l'œil du tsar», qui est, lui, un révolutionnaire. L'auteur réussit à trouver le bon dosage entre réalité et fiction. Le figaro

Nota : Ne pas lire le 4ème de couverture si vous ne souhaitez pas être privé d'une partie du suspense.

Polynie de Mélanie Vincelette Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... 97822210

L'histoire : «Des cargos, des avions et des civilisations entières disparaissent régulièrement dans l'Arctique, ne laissant que des murmures et des questions irrésolues dans la blancheur laiteuse du paysage. Au moins, on savait que Rosaire n'avait pas été avalé par une baleine à bosse et qu'il n'était pas passé au travers de la glace, hypothèses souvent évoquées pour expliquer la disparition des explorateurs polaires. Résoudre un meurtre dans cette communauté qui vivait en vase clos allait se révéler plus difficile que prévu, même s'il était presque impossible de s'échapper de l'île de Baffin. La route la plus longue ne fait que soixante-dix kilomètres et s'arrête en face d'un énorme glacier de soixante-cinq mètres de hauteur.»

Critiques : Sous couvert d'une enquête policière, Mélanie Vincelette nous plonge au coeur d'une réflexion sur les mystères des individus. Pourquoi idéalise-t-on les êtres ? Sait-on jamais qui on aime ? Léandre s'est construit une image idéale de son frère, séducteur et serviteur des justes causes, mais la réalité est beaucoup moins chatoyante. Sans être un parfait salaud, Rosaire n'était pas un ange non plus. De la même façon, Léandre aime passionnément Marcelline, une glaciologue activiste qu'il poursuit de ses assiduités. Mais cette dernière préfère s'envoyer en l'air avec Tommy, un pilote bien bâti : 96 kilos pour 1,90 mètre.
Avec ce nouveau roman, Mélanie Vincelette s'affirme par un ton unique, reconnaissable entre mille, à la fois drôle et poétique. Chapitre.com

Mélanie Vincelette a mis cinq ans pour écrire Polynie, un roman magnifique, à la fois puissant, mystérieux et poétique, dont l’action se déroule principalement dans l’univers méconnu des grandes étendues polaires.
L’écrivaine montréalaise, également directrice des Éditions Marchands de feuilles, fait partie des rares Québécois à être publiés en France chez Robert-Laffont. Canoë

Nota : Une polynie est une zone qui se maintient libre de glace ou couverte d'une couche de glace très mince située au milieu de la banquise en Arctique ou en Antarctique. On retrouve les polynies d'une année sur l'autre à peu près à la même place même si leur forme peut varier.
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MessageSujet: Re: Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire....   Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... EmptySam 14 Mai - 7:19

Mauvais genre de Naomi Alderman

Le livre que l'on a aimé ou que l'on aimerait lire.... 97828710

l'histoire : Une éducation anglaise. Après la communauté juive orthodoxe qui était au centre de 'La Désobéissance', Naomi Alderman s'intéresse dans 'Mauvais genre' à un autre cercle très fermé : la prestigieuse université d'Oxford. Portrait d'un groupe d'amis réuni autour du séduisant (et manipulateur) Mark Winters, ce roman initiatique raconte les premières amours, les soirées inoubliables, mais aussi le désenchantement et les bouleversements intimes de cet âge de déraison qu'est la jeunesse. Dans la lignée du Maître des illusions de Donna Tartt, Mauvais genre révèle la perversité cachée derrière les façades impeccables d'Oxford, ce monde faussement exemplaire qui prépare à tout sauf à la réalité.

critiques :... Alderman brasse généreusement les thèmes (l’argent et les rapports sociaux, le flirt homo, le sentiment tragique du nevermore…) dans ce roman complexe, captivant et très british, qui renouvelle avec virtuosité la tradition du campus novel. Dominé par le portrait du très ambigu Mark Winters, ‘Mauvais genre’ est plus qu’une confirmation pour l’une des romancières britanniques les plus talentueuses de sa génération. Evènement

Les heures silencieuses de Gaëlle Josse

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l'histoire : Journal intime de Magdalena, épouse de Pieter van Beyeren, administrateur de la Compagnie néerlandaise des Indes Orientales. Issue d’une famille de riches armateurs, la jeune femme évoque sa déception de n’avoir pu succéder à son père, sa rencontre avec son mari, les failles de son existence et surtout un souvenir qui l’oppresse : le meurtre dont elle a été le témoin, enfant.
S’inspirant d’un tableau réalisé par Emmanuel de Witte, Gaëlle Josse imagine la vie de la femme qui y est représentée de dos, penchée sur son épinette. Chaque détail de la toile est prétexte à développer un aspect du quotidien de celle qu’elle baptise Magdalena. L’auteur parvient à recréer l’atmosphère liée à une époque reculée et à un lieu aussi particulier que l’est un port. Les détails de la vie domestique, les préoccupations professionnelles des armateurs, les découvertes de nouveaux produits rapportés d’outre mer, les inquiétudes de la mère de famille, tout est dépeint avec vraisemblance. Les confessions de Magdalena sont émouvantes car, sans se plaindre, elle mesure les malheurs et les déceptions qui ont jalonné sa vie et celle de ses proches. Elle exprime, dans un style à la fois simple et doucettement lyrique, le dépit de ceux qui ont pris conscience des limites de l’être humain, de ses imperfections, et qui en prennent vaillamment leur parti. Le lecteur se laisse prendre par ce texte aussi court que profond, comme happé par l’œuvre de Witte. Et une fois le livre refermé, il peut poursuivre l’expérience en contemplant le tableau d’où tout est parti. Avec Les heures silencieuses, Gaëlle Josse offre un premier roman qui en fait espérer d’autres.
Critiques : La structure du roman, sous forme de journal intime, permet à l’auteur de dévoiler petit à petit les facettes du caractères de son personnage, qui raconte sa vie de manière aléatoire et non chronologique, au gré de ses pensées.
J’ai été enchantée de cette petite lecture, très courte, qui m’a plongé le temps de quelques pages dans les Pays-Bas du XVIIème siècle. Un temps où les femmes devaient tenir leur maison en ordre, ne travaillaient pas, du moins dans certaines classes sociales et tenaient leur place. Un temps aussi où les époux ignoraient tout de ce qui se passait vraiment dans la tête de leur conjoint et où chacun était au fond bien seul. Gaëlle Josse décrit parfaitement les troubles, les tourments et les sentiments vécus par Magdalena. Je regrette malgré tout que ce récit soit si court et que les différents aspects de la vie de l’époque ainsi que les épreuves subies par la narratrice n’aient pas été davantage développés. Cela me frustre toujours un peu que les romans soient si brefs. Chaplum
... Gaëlle Josse habille la voix de sa narratrice d’une lumière douce, telle celle se promenant sur le tableau du peintre Emmanuel De Witte (couverture du livre). Par petites touches sensibles et silencieuses, et au-delà du journal intime, l’auteur redessine une époque et un lieu. Les odeurs se mêlent aux confessions les plus intimes de Magdalena et le lecteur devient captif de la langue et du moment. Un premier roman remarquable. Evènement.
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